Tu feras sortir d’Egypte mon peuple

Dieu nous a laissé un héritage merveilleux : Sa Parole. Il fait toutes choses par Sa Parole. Tous ceux qui ont connu cet Amour ont hâte que ce Jour vienne où nous partirons avec Lui. Si nous n’avions pas eu des hommes comme Pierre, Paul et les autres qui ont donné leur vie pour cet Evangile, alors nous aurions eu un Evangile erroné. Ils avaient leurs faiblesses. « Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte beaucoup de fruit, car sans moi vous ne pouvez rien faire. » (Jean 15 : 5) Aimer est difficile, mais avec Lui, notre cœur déborde d’amour.

Josué 3 : 1-3

Il y avait un obstacle devant eux, Jéricho. Jéricho était très bien protégé, cette ville était impénétrable car ses murs étaient épais. Quand on regardait le peuple d’Israël, on le voyait comme misérable. Ce peuple était conduit par Moïse. Moïse aussi était considéré comme un misérable. Pour conduire un peuple, tu dois savoir où tu dois aller, tu établis un chemin. Mais Moïse ne savait pas où il allait, il faisait des détours dans le désert. Les hommes établissent des stratégies, mais la stratégie de Moïse était différente, cela a pris 40 ans.

Le peuple est sorti d’Egypte. Quand ils sont sortis, ils auraient dû normalement se protéger, avancer cacher mais là, ce peuple marche aux yeux de tous. Et en plus, Moïse conduit ce peuple à la Mer Rouge. C’est une faute grave. On pouvait penser que leur Dieu était ignorant ! Il n’y avait pas de barques, pas le moyen d’y échapper. Cela est l’œil naturel. Notre regard doit être différent, considérons la manière dont Dieu fait les choses. Quand tu te confies à tes yeux naturels, c’est là que commence les problèmes.

Imaginez Bartimée, mendiant aveugle qui n’avait jamais vu depuis sa naissance, cela a toujours été comme cela pour lui. Croire est un miracle. Quand vous croyez, vous avez difficile à croire, mais quand vous ne voyez pas, vous croyez. Bartimée, à l’écoute de ce qu’il a entendu, a cru. « On lui dit: C'est Jésus de Nazareth qui passe. Et il cria: Jésus, Fils de David, aie pitié de moi! » (Luc 18 : 37-38) Cette homme n’avait pas lu les Ecritures, mais il avait entendu. A l’écoute de la Parole, la profondeur est entrée en lui. La foi s’accroche comme cela. Un jour viendra, je verrai.

Que dans cette génération, nous puissions aussi accepter de mourir pour Jésus. Vous pouvez tout prendre, mais laisser moi Jésus ! Nous avons besoin de Lui. Il est tout pour nous.

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